Etat de l'Art
Depuis quelques décennies l'industrie informatique progresse très rapidement. Nous sommes passés de la mécanographie au traitement parallèle, et aux bases de données en réseau. Le chemin parcouru est impressionnant. Il est dû principalement aux progrès de l'industrie électronique en intégration de composants. Nous disposons, actuellement, de machines très sophistiquées, aux possibilités éblouissantes, qui auraient laissé perplexes les pionniers de l'informatique.
Le problème actuel est, paradoxalement, devenu celui de la communication. Il est évident maintenant que la puissance de calcul brute ne suffit plus... Les machines doivent assurer, en les partageant, les différentes tâches et fonctions que nous, informaticiens et utilisateurs, sommes en droit d'attendre d'elles :
- Une interface conviviale,
- La rapidité d'exécution des processus,
- L'accès à des informations distantes et réparties...
Tout ceci de façon totalement transparente !
Utopie ? Certainement pas... C'est le rôle des réseaux de communication d'assurer le transport de l'information, d'établir, au travers d'interfaces et de protocoles, un dialogue entre les machines. Il appartient maintenant aux industriels et aux informaticiens de se mettre réellement d'accord sur des standards (matériels et logiciels) internationaux.
C'est seulement à ce prix qu'il sera possible de pérenniser la transmission de l'information d'une machine à une autre, ceci le plus simplement possible, le plus rapidement possible et le plus sûrement possible. L'enjeu est important. Le concept Mainframe est dorénavant dépassé. L'architecture Client-serveur (au sens le plus large du terme) s'impose désormais. Le Multimédia est malgré sa complexité un des atouts majeurs de l'informatique. Et ce concept en lui-même impose la cohérence des technologies utiles pour la transmission de l'information... De grandes quantités d'information. Des débits de dix, voire cent Méga bits par seconde, sont obligatoires pour transférer, en temps réel et en respectant les attentes de l'utilisateur (en termes de qualité), textes, images (la vidéo et la 3D aussi, bien sûr) et sons...
Les possibilités de traitement des micro-ordinateurs les destinent tout naturellement à être, en plus de leurs fonctionnalités intrinsèques, les terminaux intelligents d'aujourd'hui et demain. Ils ont à assumer simultanément les lourdes tâches de gérer l'interface homme-machine, d'une part, et d'assurer la transparence des communications, d'autre part. Tout ceci se mettant en place le plus simplement possible, sans requérir, dans le cas général, la moindre compétence technique. C'est cela que l'on peut appeler, tout simplement, le progrès...
Le problème actuel est, paradoxalement, devenu celui de la communication. Il est évident maintenant que la puissance de calcul brute ne suffit plus... Les machines doivent assurer, en les partageant, les différentes tâches et fonctions que nous, informaticiens et utilisateurs, sommes en droit d'attendre d'elles :
- Une interface conviviale,
- La rapidité d'exécution des processus,
- L'accès à des informations distantes et réparties...
Tout ceci de façon totalement transparente !
Utopie ? Certainement pas... C'est le rôle des réseaux de communication d'assurer le transport de l'information, d'établir, au travers d'interfaces et de protocoles, un dialogue entre les machines. Il appartient maintenant aux industriels et aux informaticiens de se mettre réellement d'accord sur des standards (matériels et logiciels) internationaux.
C'est seulement à ce prix qu'il sera possible de pérenniser la transmission de l'information d'une machine à une autre, ceci le plus simplement possible, le plus rapidement possible et le plus sûrement possible. L'enjeu est important. Le concept Mainframe est dorénavant dépassé. L'architecture Client-serveur (au sens le plus large du terme) s'impose désormais. Le Multimédia est malgré sa complexité un des atouts majeurs de l'informatique. Et ce concept en lui-même impose la cohérence des technologies utiles pour la transmission de l'information... De grandes quantités d'information. Des débits de dix, voire cent Méga bits par seconde, sont obligatoires pour transférer, en temps réel et en respectant les attentes de l'utilisateur (en termes de qualité), textes, images (la vidéo et la 3D aussi, bien sûr) et sons...
Les possibilités de traitement des micro-ordinateurs les destinent tout naturellement à être, en plus de leurs fonctionnalités intrinsèques, les terminaux intelligents d'aujourd'hui et demain. Ils ont à assumer simultanément les lourdes tâches de gérer l'interface homme-machine, d'une part, et d'assurer la transparence des communications, d'autre part. Tout ceci se mettant en place le plus simplement possible, sans requérir, dans le cas général, la moindre compétence technique. C'est cela que l'on peut appeler, tout simplement, le progrès...
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